Les Détendus Du Slip
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 l'histoire du slip

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MessageSujet: l'histoire du slip   l'histoire du slip Icon_minitimeLun 2 Avr - 15:22

Le slip à poche kangourou a aussi son histoire. Une recherche parmi quelques ouvrages spécialisés, banques de données, archives de journaux et divers sources permettent de reconstituer l'histoire du plus célèbre sous-vêtement masculin et plus généralement les petites histoires des dessous masculins.

Le blue jean, le T-shirt et les basquets ont marqué ce siècle. Mais aucun autre vêtement que le slip n'a autant bouleversé les habitudes vestimentaires masculines. Pendant des siècles les hommes ont négligé leurs sous-vêtements et leurs bijoux de famille. Le XXè siècle a pris les choses en main ! Suivez cette chronologie aussi sérieuse qu'amusante.


Histoire du slip : l'influence des anciens (JC-XIXè siècle)

Du pagne aux chausses, des braies au pantalon, de la culotte au maillot, en passant par le caleçon, les siècles passés ont ouvert la voie au slip, sous vêtement par excellence du XXè siècle.
Avant JC

Les premiers cache sexe

Le pagne fut l'habit commun de tous les peuples de la Méditerranée. Les Égyptiens portaient le « schenti », sorte de pagne à double pan dont certains modèles pouvaient déjà inspirer la forme du slip. Certains sous-vêtements du pharaon Toutankhamon trouvés il y a 3.300 ans dans sa tombe étaient aussi élaborés que ceux réalisés dans les années 1950. Les Crétois le transposèrent définitivement à la manière d'un caleçon court, avec un devant triangulaire qui dégageait les cuisses (vers -800 avant JC). Les Crétois eurent d'ailleurs une influence particulière. Ils préféraient les costumes très ajustés, cousus et maintenus fortement à la ceinture, tant et si bien que cela était assez moulant et ressemblait déjà à un slip. Dans l'Occident chrétien, le caleçon était porté par souci de pureté. On retrouve d'ailleurs dans la Bible (Lévitique VI, 3) une précision sur la tenue rituelle pour les sacrifices : « Le prêtre revêtira sa tunique de lin et d'un caleçon de lin couvrira son corps ». Des Gaulois, on sait seulement qu'ils portaient des braies, sortes de caleçons longs et amples, issues elles-mêmes des barbares Scythes qui les introduirent en Europe centrale lors des invasions par les Germains et les Celtes. On retrouvera la notion hygiénique du sous-vêtement avec les Grecs qui nous laissèrent sur des vases de riches iconographies retraçant leurs coutumes vestimentaires. Ainsi, trois ou quatre siècle avant JC, les populations helléniques restaient nues ou bien portaient des sortes de pagnes. Avant les Romains, les hommes Étrusques installés dans la péninsule italique faisaient usage de la perizoma, une sorte de slip bien que porté en vêtement du dessus. (sources : Histoire des costumes en Occident, de l'antiquité à nos jours par François Boucher, Histoire technique & morale du vêtement par Maguelone Tousaint-Samat, The History of Costume, Nando Times, Associated press).


Empire Romain

Le sous-vêtement romain

Les Romains portaient en guise de sous-vêtement une sorte de pagne noué à la taille qu'ils appelaient « subligaculum » ou « licinum ». Seuls les athlètes étaient autorisés à porter ce sous-vêtement en public.


Moyen Age

Braies et chemises

Les hommes portaient des braies jusqu'à l'époque de Charlemagne. Le seul sous-vêtement était la chemise. En général il s'agissait pour les gens les plus pauvres de mettre leur vieux vêtements sous leurs vêtements neufs. Néanmoins, ceux qui montaient à cheval et les hommes en armes portaient des sous-vêtements. C'était soit pour protéger le fessier à une époque où la selle n'était pas encore au point, soit pour protéger le corps des parties contendantes de l'armure. (sources : Histoire des costumes en Occident, de l'antiquité à nos jours par François Bouche, Histoire technique & morale du vêtement par Maguelone Tousaint-Samat et Modes & vêtements par Nathalie Bailleux).
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MessageSujet: Re: l'histoire du slip   l'histoire du slip Icon_minitimeLun 2 Avr - 15:22

XIVè siècle

Le sous-vêtement devient élément d'hygiène

Les chroniqueurs de l'époque rapportent que les braies portées sous les vêtements du dessus améliorent la netteté. À cela nous pourrons sans mal imaginer que leur propreté laissant à désirer, il valait mieux les cacher ! La mode de l'époque évoluant, on eu l'idée vers 1371 de coudre les chausses l'une à l'autre et d'adjoindre entre les deux parties du devant une « braye » couvrant l'ouverture des braies, et qui deviendra brayette, puis plus tard, braguette. Au milieu du XIVè siècle les sous-vêtements masculins sont fait d'un pourpoint ou « gipon » qu'on avait coutume de rembourrer avec de la laine ou du coton, tant et si bien que cela comprimait fortement l'estomac. Il faut souffrir pour être beau ! (sources : Histoire des costumes en Occident, de l'antiquité à nos jours par François Boucher, et Jeux, modes et masses par Paul Yonnet).


XVè-XVIè siècle

La braguette, une ouverture dans l'histoire du slip

La braguette pourrait être l'ancêtre du slip à poche. Ce sont les Allemands qui donnèrent un essor particulier à cette traditionnelle pièce de tissus rectangulaire qui couvrait l'ouverture des hauts-de-chausses et qu'on fermait par des boutons, ou plus souvent par des aiguillettes, sortes de lacets passés dans des œillets qui empêchaient la bistouquette de se promener indûment à l'extérieur ! Les Italiens lui inventèrent un nom : « bragetto ». Mais c'est le roi de France Charles IX qui la mis en valeur d'une façon bien originale : la pièce de tissu était rembourrée tant et si bien qu'elle prenait d'impressionnantes proportions. Cette proéminence marquée – et remarquée – valorisait le membre viril et par là même la puissance du souverain. Le sieur Villandri, fidèle du roi, l'apprit à ses dépends. Il vint un jour à toucher la guillery du roi et fut condamné pour crime de lèse majesté. On ne plaisantait pas avec les bijoux royaux ! Le roi marqua ainsi la mode de son temps, influençant les gentilshommes de la Renaissance qui se pavanaient avec élégance dans de volumineuses braguettes jusque dans les années 1580. Tant et si bien que cette mode vient jusqu'à irriter Montaigne qui qualifiait dans ses Essais ce protubérant artifice utilisé par les nobles de « ridicule pièce » qui « accroît leur grandeur naturelle par fausseté et imposture ». L'influence de la braguette fut considérable dans toute l'Europe et pour toutes les catégories sociales, comme en témoigne la peinture de l'époque. En Italie, les pages et gentilshommes de la Renaissance sont immortalisés par les peintres Carpaccio, Mantegna, Giorgione, Clouet ou le Titien. Les paysans de Brueghel ou d'autres artistes flamands n'échappent pas à la mode, pas plus que les reîtres et les commerçants du Nord peints par Holbein ou Granach. Tout le monde se sert de la braguette et l'usage du linge de corps se répand.

Cependant, si la braguette se popularise à cette époque, le slip semble lui aussi à la mode. Il existe un personnage qui est depuis le XIIIè siècle représenté en sous-vêtement et presque une fois sur deux dans une vêtement qui rappelle de près le slip. Ce personnage, c'est Saint Sébastien, un martyr romain mort en l'an 228 et qui au XVè siècle symbolisait la lutte contre la peste. Pourquoi ? Tout simplement parce que Sébastien, à l'image d'un pestiféré a vu son corps se couvrir de cicatrices. Mais ces plaies n'étaient point dues à la maladie. Elles étaient le fait de flèches tirées par des archers Dioclétiens. Parce que Sébastien était chrétien, il subit le supplice de la sagitation mais s'en sorti grâce à la dévotion de quelques âmes charitables. Dans la peinture italienne, ce personnage est sur représenté, surtout à Venise dont il protégea la population contre la peste (avec assez peu d'efficacité d'ailleurs !) Les représentations du Saint sont intéressantes car il est toujours peu vêtu afin de montrer aux dévots le corps transpercé de flèches. L'un des peintres les plus célèbres de la cité des Doges était Giovani Bellini. Celui-ci, dans un de ses plus beaux tableaux exposé à Florence représente un Saint Sébastien mélancolique percé de plusieurs flèches et ceint d'une sorte de slip. Cette Allégorie sacrée du paradis, peinte probablement en 1485 donne une idée assez précise des sous-vêtements portés à cette époque.

l'histoire du slip XVbellini

D'autres artistes illustrent aussi, à leur manière, les prémisses du slip. Par exemple, l'Italien Bartolomeo Montagna, ou l'Allemand Hans Memling, lui-même inspiré par la peinture flamande. Tous deux représentent un Saint Sébastien dans une sorte de slip particulièrement moulant. Mais les représentations les plus intéressantes sont probablement celles d'Antonello da Messina et du peintre Piero della Francesca. Ces deux artistes peignent à la même époque un Sébastien dont le vêtement à tout l'air d'un slip, voir même d'un slip de bain. En effet, Piero ajoute un détail très précis sur son tableau peint entre 1445 et 1460 : une petite cordelette destinée à maintenir l'étoffe serrée autour de la taille du personnage. Quant à Antonello – lui aussi formé à l'école flamande et qui introduisit la peinture à l'huile en Italie – son slip est du même modèle que les maillots de bains les plus à la mode au début des années 2000. À peine quelques années plus tard en 1492, le peintre, décorateur, architecte et sculpteur Matteo Civitali va lui aussi réaliser un Sébastien vêtu d'un slip plus vrai que nature.

Le linge de corps apparu à cette époque entraîne des changements dans les règles de l'hygiène. Il était courant avant cette époque de se laver nu et de manger avec les doigts. L'apparition de la fourchette et des sous-vêtements permettra pendant une longue période aux hommes et aux femmes de n'avoir plus besoin de se laver aussi souvent. Le linge étant plus facile à laver que le corps lui-même. Mais retournons aux braguettes dont l'usage n'était pas exclusif : il n'était pas rare que cette poche serve à un garder son mouchoir, on y cachait sa bourse et ses monnaies, ou même des fruits que l'on voulait faire mûrir ! Les soldats avaient droit à un traitement privilégié puisque certains de ces appareils étaient en fer ! François Rabelais précisait en 1532 dans Pantagruel que la braguette constituait « la première pièce de l'armure ». Seuls les cavaliers refusaient de porter cet accessoire supplémentaire pour leur armure. Confort oblige. Peut-être un jour cette fameuse braguette à aiguillettes réapparaîtra-t-elle sur un nouveau modèle de slip ? Couturier, à vos ciseaux... et visez bien ! (source : Construire n°7, Larousse, Encyclopédie Hachette, Histoire de la mode masculine par Colin McDowell, Éloge du bas par Paolo Lombardi et Mariarosa Schiaffino, Histoire de la pudeur par Jean-Claude Bologne, Sébastien l'icône détournée, par Michel Braudeau in Le Monde du 28 juillet 2004).


XVIIIè siècle

Histoire de culottes

La culotte est le vêtement de dessous que portent les occidentaux, toutes classes sociales confondues. Apparue pour la première fois en 1515 pour les hommes, elle ressemble à un caleçon long flottant qui descend jusqu'aux genoux. Elle est à la fois sous-vêtement et vêtement du dessus. La culotte est fermée par plusieurs boutons avant 1730, puis par un « pont » plus ou moins important, elle est alors dite « bavaroise ». Peu après la Révolution Française, la culotte donna son nom à un mouvement politique : les sans-culottes. C'est ainsi que les aristocrates français désignaient les révolutionnaires qui défilaient dans les rues. En effet, ils avaient remplacé la culotte par le pantalon. Ah, ça ira, ça ira, ça ira... (sources : Histoire des costumes en Occident, de l'antiquité à nos jours par François Boucher, Chronologie de la mode par La Mode Française).

Le chemise conjugale, un avant goût du slip ouvert

Si en ces temps anciens les pauvres dormaient nus, les nantis portaient eux des chemises de nuit. Cette pièce de toile ample et longue permettait aux plus pudibonds, hommes ou femmes, de préserver leur plus intimes parties des regards du conjoint. La chemise de nuit était faite d'une toile assez rustre qui ne devait certes pas faciliter les rapports libidineux entre les conjoints. Au cours du XVIIIè siècle les sœurs pudibondes des couvents inventèrent la « chemise conjugale » destinée au trousseau de leurs jeunes pensionnaires prêtes à marier. Cette chemise de nuit du père la Pudeur était dotée d'une ouverture sous le nombril qui permettaient donc aux époux d'assurer une descendance sans pour autant dévoiler leurs parties les plus honteuses ! Elle fut par la suite baptisée « chemise à ouverture parisienne », « chemise de la famille chrétienne » ou encore « chemise à faire un chrétien ». Anatole France précise que les trousseaux des jeunes mariées comportent « des chemises amples et longues, avec un petit pertuis qui permet aux jeunes époux de procéder chastement à l'exécution du commandement de Dieu relatif à la croissance et à la multiplication ». La fameuse ouverture était parfois agrémentée de commentaires encourageants, à moins qu'il ne s'agisse d'un mode d'emploi pour les moins expérimentés ? On trouvait par exemple brodé autour de ce trou du bonheur la phrase : « Dieu le veut ». D'autres modèles pouvaient être fermés momentanément afin de signifier au mari qu'il n'était pas opportun de venir s'aventurer dans ce trou là pendant quelques jours ! Chez l'homme, l'ouverture pouvait prendre des formes plus adaptées. On parlait alors d'un « portail » surmonté d'un « pont-levis » avec, sur le nombril un bouton permettant d'y fixer la pièce d'étoffe au cours de l'acte. La taille de cette ouverture était standardisée ! Soit à peu près une main, ou seize centimètres. Cela alimentait d'ailleurs les sarcasmes de certaines épouses probablement déçues qui répétaient à qui voulait l'entendre : « il y a plus de portail que de bétail ». Cette tenue de nuit bien particulière perdura bien longtemps. On en voudra pour preuve ce témoignage d'une femme venue accoucher en 1952 à l'hôpital de Caen (Calvados) dans cette tenue. Son mari, père de douze enfants ne l'avait jamais vu nue ! (source : Histoire de la pudeur par Jean-Claude Bologne).


XIXè siècle

Du caleçon au maillot, il n'y a qu'un fil

Les premiers sous-vêtements masculins font leur apparition vers 1830, de forme très sobre, ils excluent toute ambition de séduction. Il s'agit plutôt de caleçons longs jusqu'aux chevilles pour recouvrir les chaussettes. Ils sont en toile l'été, tandis que l'hiver on les choisi en flanelle, pilou ou jersey molletonné. Leur couleur oscille entre le blanc, l'écru ou le gris. Cette dernière couleur étant jugée « pratique » car peu salissante. Ils sont souvent perçu avec mépris ou considérés comme ridicules comme l'évoque Jean Lorrain en 1897, ils ressemblaient à des tuyaux de poêle ou à des ustensiles de fumistes. En 1829 le mot « corset » fait son apparition. Il s'agit d'un sous-vêtement peu confortable porté principalement par les femmes et qui enserrait leur taille afin de leur arrondir les hanches et relever les seins. Le modèle pour hommes – moins répandu – permettait de cacher la brioche de ces messieurs. Le corset qui fut encore porté jusqu'en 1910 pour les femmes et 1960 pour les hommes, modelait le corps et soutenait certaines parties charnues. C'est peut être cet accessoire vestimentaire qui inspira plus tard les différents inventeurs du slip qui voulaient un vêtement qui maintienne et modèle l'anatomie... le confort en plus, tout de même. À moins que ce soit Herminie Cadolle qui créa le premier soutien-gorge.

Il est plus probable en réalité que ce soit un certain Monsieur Maillot, ingénieur bonnetier de l'Opéra de Paris qui inventa un caleçon de tricot collant sur la chair et qui lui donna son nom. Son invention fût popularisée dès 1830. Ce fameux vêtement moulant n'était pas encore celui que nous portons, en effet il s'agissait d'une sorte de body fait d'une seule pièce (union suit) qui couvrait le corps du cou jusqu'aux pieds, ou parfois s'arrêtait aux genoux. Pudeur oblige. La sobriété était de mise et toute la famille portait le même modèle. Pas de différence particulière entre papa, maman et les enfants !
l'histoire du slip Unionsuit

insi, les établissements Valton proposeront un caleçon long Derby, porté parait-il par le maréchal Joffre, et dont la réclame annonçait un « véritable pantalon de cavalier sans couture ». La même société proposait en France des brassières et tricots Comète en laine traitée pour ne pas rétrécir « grâce à une teinture étudiée pour rendre le vêtement hydrophile et infeutrable ».

Par commodité certains de ces sous-vêtements pouvaient s'ouvrir derrière pour satisfaire une envie pressante. Ce n'est qu'un peu plus tard – pour le plus grand confort des femmes et des enfants – que ce sous-vêtement fut séparé en deux parties, une pour le haut, une pour le bas. Déjà avant le XXè siècle la dimension hygiénique du sous-vêtement commençait à prendre de l'importance. Certains médecins comme le docteur Jaeger, plus tard suivis des Docteur Breton et Rasurel proposèrent de nouveaux dessous dont les vertus sanitaires étaient aussi sérieuses qu'originales. On raconte qu'Oscar Wilde et le critique littéraire George Bernard Shaw se livrèrent à une démonstration de ces sous-vêtements en descendant Oxford Street, une célèbre rue de Londres. D'un point de vue commercial, ces nouveaux sous-vêtements en maille connurent un beau succès. En 1893, le bonnetier Valton (futur Petit Bateau) qui a fait construire un atelier de 3700 m² à Troyes met en vente ses produits au Bon Marché à Paris. Un an plus tard, ses maillots de corps sont vendus dans les boutiques de Bordeaux, Lyon, Marseille et Lille. Le développement du sous-vêtement en France participera à l'éclosion de la bonneterie, et tout particulièrement à Troyes. De 1896 à 1900, le chiffre d'affaires des Établissements Valton passera de 1,5 million à 2 millions de francs. (sources : Modes & vêtements par Nathalie Bailleux, Chronologie de la mode par La Mode Française, Histoire technique & morale du vêtement par Maguelone Tousaint-Samat, Histoire des dessous masculins par Dessous-Net, in Historia par B. Eschapasse.)

pour plus d'info[url] http://slip-kangourou.tripod.com/histoireA.htm[/url]
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